Trésorerie d’entreprise

L’ensemble des sociétés que nous accompagnons (TPE, ETI, PME) sont pérennes et disposent d’importants excédents de trésorerie. Au titre de notre mission, nous assistons le Dirigeant pour bien qualifier l’horizon de placement de sa trésorerie globale (très court terme, court terme, moyen terme, long terme) et ainsi quantifier le volume de trésorerie qui devrait composer dans l’idéal chacun de ces « silos ».

Au besoin, cette segmentation est réalisée de concert avec le Dirigeant, le DAF de la structure le cas échéant, et dans certaines situations en adéquation avec les recommandations de l’expert-comptable en charge du suivi du groupe de sociétés.

A partir du cahier des charges qui est fixé, nous veillons dans un premier temps à identifier les modalités de détention à privilégier (en nom propre, par l’intermédiaire d’un compte-titres, d’un contrat de capitalisation, d’une structure juridique spécifique, …). Ce préalable est indispensable à un conseil de qualité.

Par exemple, nous observons très souvent que les placements de trésorerie d’entreprises (soumises à l’IS) sont réalisés « par défaut » au sein d’un compte-titres. Or, cet automatisme n’est pas forcément pertinent dans la mesure où les plus-values latentes constatées au sein d’un compte-titres font l’objet d’une comptabilisation annuelle au plan fiscal, ce qui conduit à augmenter l’IS à payer. A l’inverse, détenir des actifs au sein d’un contrat de capitalisation va permettre à l’entreprise de disposer d’une bien meilleure maîtrise de l’imposition. Dans les faits, la performance réelle du contrat ne sera pas comptabilisée. Seule une plus-value forfaitaire sera intégrée dans les comptes, laquelle correspond à 105% du dernier TME (Taux Moyens des Emprunts d’État) connu au jour de la souscription du contrat. Ce taux étant spécialement faible, il permet ainsi à l’entreprise de bien mieux maîtriser la fiscalité découlant de son placement et d’être majoritairement taxée seulement en cas de retrait (= rachat) sur son placement.

Une fois que les contenants juridiques sont bien définis en fonction des besoins exprimés, du volume de trésorerie en présence et de l’horizon de placement concerné (les « silos »), nous sourçons les solutions patrimoniales qui sont les plus adaptées aux attentes exprimées. Alors, les investissements choisis peuvent prendre des formes diverses :

Nous veillons à structurer des allocations financières compatibles avec les besoins courants d’une entreprise (adaptation du degré de risque, de la disponibilité, du rendement à espérer, …).

En fonction des situations et des capitaux à structurer, nous sommes également amenés à construire des solutions sur-mesure si les solutions offertes par les marchés ne sont pas complètement alignées sur les intérêts et les besoins de la structure nous sollicitant.

Nos préconisations font toujours l’objet d’un rapport de conseil écrit qui présente de manière circonstanciée l’ensemble des enjeux des solutions retenues, leur avantage, limite, coût, fiscalité, …

« L'approche démarre toujours sur une analyse de l'existant suivi d'une définition d'un objectif en concertation avec les clients. La sensibilité personnelle de chacun est donc préservée et les décisions restent à la discrétion des clients. Les performances financières sont conformes aux exigences formulées »
Akim F.
« Je vous ai sollicité pour investir des excédents de trésorerie. J’ai particulièrement apprécié la globalité de votre approche et votre capacité à mettre en perspective nos objectifs enfouis. Le montage préconisé s’est révélé fondamental pour maximiser le rendement de mon placement de trésorerie. Le rapport qui m’a été remis était dense. Je salue votre réactivité et votre technicité qui m’incite à vous recommander chaudement dans mon entourage »
Catherine L.